HEARSAY shares fireside tales; from the ghostly Alkimos wreck, big cat sightings and UFOs, to daredevil feats of the Birdman Rally and the adventures of Moondyne Joe. Set to the backdrop of the shipwreck coast and the Gnangara pines, and drawn from the rich history of the Wanneroo region, this exhibition blurs the line between fact and fiction.
The Bunbury Biennale 2019 is a prestigious art exhibition, showcasing the latest of contemporary art from around Western Australia. This year’s opening night saw over 400 art lovers celebrating the fantastic work on display at the Bunbury Regional Art Gallery.
Christophe Canato’s body of work is a longstanding examination of the male gender role, identity and sexual orientation in cultural, politics and religion contexts. In his photography, the staged male body expresses ambiguities between form and representation.
BUNBURY BIENNALE runs 18 May - 21 July 2019 | BRAG is open daily | 10am - 4 pm | Free entry
For more information about the Bunbury Regional Art Gallery head to www.brag.org.au or find us on Facebook and Instagram.
French-Australian Christophe Canato lives and works in Perth, Western Australia since 2005. Canato’s body of work is a longstanding examination of the male gender role, identity and sexual orientation in cultural, politics and religion contexts.
In his photography, the staged male body expresses ambiguities between form and representation.
It is not only the representation of the body that challen
ges this artist but the equivocal proximity between the subjects in the scenes represented (the gesture, faces position) and the reading that each of us sometimes makes to the detriment of the artists themselves.
BUNBURY BIENNALE opens Saturday 18 May, 6pm - 9pm. Entry is free and all are welcome. See you there!
Image: Christophe Canato, Ascension, 2019, digital photograph, 100 x 150 cm.
Four talented Perth based artists were awarded for their talents in the Minnawarra Art Awards, the signature event for the Armadale Arts Festival (3-19 May) at a special event on Thursday 2 May.
Kathryn Haug from Mt Richon won the Local Artist Award for her artwork Yellow Paintbrush and Jenny Herbet from Mt Richon received Highly Commended for Havana Chic – Keeping up appearances.
Christophe Canato from Bayswater was also awarded the coveted Gerry Gauntlett Award for Fanrandole and Linda Banazis from Hamilton Hill received the Stockland Sculpture Prize for Those were the times.
Mayor Henry Zelones OAM, JP said 88 artists were selected to exhibit in this year’s Art Awards with a total of 114 artworks.
“On behalf of the City I would like to congratulate all the winners, especially our local artists.
“This years’ exhibition is rather special for the City as we are able to return to our newly renovated Armadale District Hall to showcase pieces across various mediums of paint, photography and sculpture.”
Judges for the Minnawarra Art Awards were Louise Dickman and Trevor Richards.
The public is invited to view the Minnawarra Art Awards, held as part of the Armadale Arts Festival, each day from 11am to 4pm until Sunday 19 May at the newly renovated Armadale District Hall.
The exhibition entry is free. The Armadale Arts Festival is presented by the City of Armadale and supported by Lotterywest and the Examiner Newspaper.
Collective States investigates points of connection between artists working across media in WA. The exhibitiontraces not only the diversity of expression and creation in contemporary art practice, but also the ability of artists to broadly explore different directions within their own art practices. The intent of the curatorial collaboration was to showcase a selection of mid-career artists whose enduring and dedicated practice has consistently led to exploratory investigations informed by decades of knowledge and research. While artists were not asked to work to a theme or pigeonholed by style or methodology, the exhibition has given voice to a series of personal and universal narratives revealing the influences and experiences that have shaped their artistic practice.
Featuring work by Christophe Canato, Jennifer Cochrane, Mel Dare, Louise Dickmann, Jane Finlay, Indra Geidans, Paul Kaptein, Susan Roux, Vanessa Russ and Lynnette Voevodin. Guest Curator: Paola Anselmi.
Cet étrange objet du réel Espace Vallès - 22 novembre, 22 décembre 2018
L’exposition Cet étrange objet du réel, détournant le titre illustre d’un film de Buñuel et lâchant l’obscur désir pour un étrange réel, rassemble sur les murs de l’Espace Vallès six artistes très différents : Christophe Canato, Manuel Dessort, Estelle Jourdain, Nadine Lahoz-Quilez, Johan Parent et Philippe Veyrunes. À travers la confrontation de leurs œuvres, les animateurs du centre d’art contemporain martinérois – Frédéric Guinot et Bertrand Bruatto – ont voulu susciter une sorte d’enquête. Ce n’est pas tant le réel de tout objet qui est ici interrogé que le sentiment d’étrangeté de chaque proposition et de ce que leur rapprochement provoque. Et c’est bien la définition possible de l’œuvre que vise, en filigrane, cette investigation : ce qu’on peut percevoir et comprendre de cet étrange objet du réel, ce qui en lui forme attirance. À chaque regardeur d’esquisser sa réponse, de décoder à sa manière le réel et ses objets exploratoires, de capter surtout l’étrange résonance qui en émane.
J-P.C.
Christophe Canato Les images produites par le photo- graphe et vidéaste Christophe Canato (il vit en Australie après avoir étudié à l’École d’art de Grenoble) sont empreintes d’une certaine dramatisation. Un obser- vateur avisé a caractérisé son travail et sa vision de « roman- tisme ironique », indiquant par-là la distance que l’artiste inscrit dans son penchant à l’expres- sion du sentiment. Prolongeant une série de photographies inti- tulée Ricochets, une vidéo donne à voir un rituel nocturne entre deux garçons affublés de masques d’animaux. Les gestes qu’ils esquissent en guise de langage codé, s’ils tiennent de l’imagi- naire du jeu d’enfants, suscitent une inquiétante étrangeté, tant le mystère de leur signi cation nous échappe. Extraite d’une autre série, une photographie de deux hommes prête à une lecture ambiguë sur le thème du double.
Manuel Dessort Peintre et décorateur, Manuel Dessort (il a étudié à l’École d’art de Dijon puis Paris et vit dans la région grenobloise) mène en parallèle à son activité profes- sionnelle un travail de peinture et de dessin sur papier, tout en revendi- quant un lien naturel avec le chantier, son univers quotidien. Il considère que « tout support blanc immaculé est indécent et doit être investi ». Partant de ce principe catégorique, il « lâche tout » et, musique à fond dans l’atelier, révoquant l’ennui et armé de couleurs, il se jette « sur le vide papier que la blancheur défend », qui obnubila Mallarmé. Les in uences que Manuel Dessort énumère – Twombly, Basquiat, Van Gogh, Eugène Leroy, Richter et Debré – transparaissent dans l’énergie sauvage qui anime sa touche et la profusion de sa palette. L’organisation spatiale et rythmique de ses œuvres portent un écho des musiques écoutées au moment de leur réalisation.
Estelle Jourdain
Estelle Jourdain (elle a étudié à Montpellier puis à l’École d’art de Valence et vit à Avignon) utilise conjointement deux médiums : la sculpture et la photographie. Elle veille avec sa sculpture, toujours en métal et très structurée, au rapport avec le lieu dans lequel celle-ci trouvera place. Par cette démarche in situ, elle questionne l’espace a n de pouvoir mieux l’appréhender. Avec la photographie, elle capte le réel pour s’en éloigner davantage. « Le sujet, isolé du contexte initial, perd son rapport d’échelle dans un espace épuré. Il est transformé par la lumière jusqu’à frôler parfois l’abstraction, laissant place à l’évocation, la sensation pure », écrit-elle. Sculpture et photographie se rejoignent lorsqu’elle intervient sur ses images en les brodant d’un l métallique dont le tracé s’adapte au contenu, retrouvant par ce geste sa façon d’agir sur l’espace et son volume.
Nadine Lahoz-Quilez
Le travail plastique de Nadine Lahoz-Quilez (elle a étudié à l’Université de Strasbourg et vit dans la Loire) se développe essen- tiellement autour du corps considéré dans une approche sociétale. Elle s’attache à tout ce qui le pare et l’investit d’une signi- cation symbolique : tatouages, vêtements, masques, ornements. Elle s’intéresse aussi à son enveloppe, comme à ses organes ou à sa pilosité, le poil étant ici comparé au l dont est constituée une vêture. La ré exion qui guide ses recherches l’entraîne à convo- quer un imaginaire foisonnant et nombre de ses réalisations s’apparentent à des rituels ou des accessoires cérémoniels. Ses créations peuvent prendre la forme de dessins, de performances, d’installations ou d’objets. Les Objets de vénération, une série sur laquelle elle travaille actuellement, se présentent comme des vanités baroques, les métaphores ésotériques qu’aurait élaborées une peuplade chimérique.
Johan Parent
On peut inscrire la production de Johan Parent (il a fait ses études à l’École d’art d’Annecy et vit à Grenoble) dans la lignée des machines célibataires de Marcel Duchamp ou de celles, plus burlesques, de Jean Tinguely. Il réalise, selon sa dé - nition, des « performances d’objets », des œuvres hybrides combinant installations, vidéos et dessins, où des objets familiers se mettent à fonctionner de manière autonome. Ces dispositifs sont animés d’un mouvement mécanique dépourvu de toute nalité. Leur automatisme absurde parodie les aspects kafkaïens de nos univers techniques déshuma- nisés. En mettant en service ses machines autosuf santes et contre-productives, Johan Parent questionne ainsi l’un des malaises de notre époque où l’objet prend souvent une place inquiétante.
Philippe Veyrunes
Concepteur lumière et scénographe pour le spectacle vivant, Philippe Veyrunes (il a étudié à l’École d’art de Dijon et à l’Academy of art de New York et vit à Grenoble) développe parallèlement un étonnant travail de dessin. Sur des feuilles de très grand format, il aligne à la mine de plomb des milliers de traits comme s’il tissait la trame d’une étoffe inconsis- tante faite de très ns ls d’ombre. Il se laisse guider par la courbe du geste qu’il improvise et répète in niment, avec une patience sans faille. Par moments, par endroits, la main suspend son geste et consent une éclaircie dans la nuée de traits, ouvre une clairière dans la frondaison des coups de crayon. Ces lacunes aux contours aléatoires où le papier est laissé à sa blancheur ébauchent des formes suggestives, créent des gures indécises, inabouties ou naissantes, des schèmes ottants que délivre la trame vibratoire de la composition. Paradoxalement, par la retenue et l’absence, le dessin peut dévoiler un processus d’apparition.
La culture à Saint-Martin-d’Hères - de septembre à décembre 2018 - n° 86
À travers la confrontation de leurs œuvres, ce n’est pas tant le réel de tout objet qui est ici interrogé que le sentiment d’étrangeté de chaque proposition et de ce que leur rapprochement provoque. Et c’est bien la définition possible de l’œuvre que vise, en filigrane, cette investigation : ce qu’on peut percevoir et comprendre de cet étrange objet du réel, ce qui en lui forme attirance. À chaque regardeur d’esquisser sa réponse, de décoder à sa manière le réel et ses objets exploratoires, de capter surtout l’étrange résonance qui en émane.
The exhibition celebrates the spirit of curiosity and the act of discovery. Stepping away from traditional ideas of treasure,Treasured turns our gaze towards the natural environment, heritage and art to explore ideas of value and significance.
It features:
Invited Artists:
Christophe Canato, Claire Davenhall, Lee Harrop, Bronwen Holding, Clare McFarlane, Lia McKnight, Britt Mikkelsen, Lewis Nannup, Ron Nyisztor, Leesa Padget, Greg Pryor, Judy Rogers, Amanda Shelsher, Wade Taylor, Declan White
Works from the Wanneroo Collection:
Penny Bovell, Stuart Elliott, Albie Herbert, Sandra Hill, Marilyn Hamilton, Theo Koning, Alan Muller, Clare McFarlane, Ron Nyisztor, Linda O'Brien, Shane Pickett, Leon Pericles, Leesa Padget, Pat Rodriguez, Amanda Shelsher, Holly Story, Jennifer Sadler, Miriam Stannage
Please find attached promotional material and information on the Treasured exhibition, and the associated Find Your Treasureprogramming, which includes a suite of workshops, tours, and an interactive children’s lair.
CHRISTOPHE Canato was the overall winner of the 2018 City of Wanneroo Community Art Awards and Exhibition, taking home the $7500 grand prize for his striking untitled digital photograph.
The Bayswater artist was one of nine winners whose artistic talents were recognised at the opening event on Friday, with each receiving a share in the $16,800 prize pool.
The City received 230 entries this year, including 148 paintings, 56 works on paper and a record 29 sculptures.
Those included 96 artworks by City of Wanneroo residents, while other entries came from around WA, including Dawesville, Mt Barker and Mt Nasura.
An independent panel consisting of artists Janis Nedela, Clare McFarlane and Helena Bogucki judged the entries.
“Each year I am inspired by the level of creativity and talent displayed in the awards, and the 2018 exhibition is a wonderful demonstration of art,” Mayor Tracey Roberts said.
“I am particularly proud that 96 City of Wanneroo residents submitted works this year, accounting for almost half of the total number of entries.
“It reflects the strong and diverse art community we have here in Wanneroo.”
The free exhibition in the gallery at the Wanneroo Library and Cultural Centre will be open until June 22, from 10am to 4pm on Mondays to Saturdays.
Exhibition visitors can take part in judging for the people’s choice award by nominating their favourite artwork.
AWARD WINNERS
Open award $7500
Artist: Christophe Canato, of Bayswater
Title: Untitled
Media: Digital photography
Best City of Wanneroo resident $2000
Artist: Robert Parkman, of Jindalee
Title: The Cabin in the Woods
Media: Plywood
Highly Commended Wanneroo resident $1000
Artist: Judy Rogers, of Alexander Heights
Title: Banal
Media: Mixed media
Works on Paper overall $1400
Artist: Joanne Duffy
Title: Breath
Media: Oil on cotton rag paper
Works on Paper Highly Commended $500
Artist: Shona McGregor
Title: Post Reproductive
Media: Laser print, mat board box, ink on Japanese rice paper, cotton embroidery thread.
Location: Wanneroo Gallery, Wanneroo Library & Cultural Centre, 3 Rocca Way, Wanneroo
Time: 10:00 - 16:00
Cost: Free
The City of Wanneroo Community Art Awards and Exhibition is major feature of the City’s cultural calendar.
The Wanneroo Gallery is open Monday to Saturday, 10:00am to 4:00pm.
This popular event has been held annually since 2001.
With 230 artworks on show, the 2018 exhibition features a diversity of works in the categories of painting, drawing and sculpture. The exhibition provides an opportunity for a range of artists, who reside in Western Australia, to potentially sell their artwork and be eligible to win a prize, from the Award pool of $16,800.
For more information on the Community Art Award and Exhibition click here
In reference to sociology, history or folk art, Christophe
Canato’s body of work explores male gender identities and sexual orientations
within cultural, politic and religious background.
In the current context where Australians will have to vote on the same-sex marriage topic that divides them, The Space Between Us reflects a queer perspective in a desire for
emancipation as a collective reflection.
For the 2017 Joondalup Community Invitation Art Award the
artist proposes three portraits titled Pink Triangle #1, Pink Triangle #2, Pink
Triangle #3.
Using the working men environment props in his compositions
such as pink builder line or bunting banner triangle flags. The pink triangle also represents the Act-Up gay rightssymbol (30 years annivarsary in 2017) which
was originally rendered in pinkand used pointed downward on a Nazi concentration camp badge to denote homosexual men.
It is the double meaning and the confusion that can be
hidden behind these compositions that interest the artist. Stigmatisation or the
way in which imagery elevates the status of individuals as well as the
bounderies ofwhat is normal or
abnormal, acceptable or unacceptable in our collective memories.
Recurrent in Christophe Canato’s work, it is also a
demonstration of the power of staging the male body in order to deliver physical
and emotional compositions such as idolatry, leadership, fantasies,
grotesqueness or oppressiveness.